Le petit matin se lève, un aspirateur automatique déambule doucement au sol dans la veranda traquant la moindre poussière.
A midi le soleil tapant un peu trop fort déclenche l’interrupteur automatique associé au détecteur de chaleur, le ventilateur/extracteur d’air chaud se met alors instantanément en marche sauvant les végétaux du stress thermique.
Le soir les données de concentration des bacs sont relevés automatiquement par la sonde connectée à l’ordinateur, ce dernier envoie les chiffres sur le portable d’alvige qui décide alors des paramètres de la séquence d’irrigation
Le soleil éclaire une dernière fois cette alliance entre plantes et hautes technologies et se couche sur cette culture du futur…. Que dis je du présent


Je te taquine un peu Alvige mais c’est pour masquer mon admiration

