Bonjour les tomos.
Finouse et Roumba, le sujet des couleuvres ne laisse effectivement pas indifférent-e-s. Pour moi, pendant la belle saison elles sont nos principales alliées dans la lutte contre les rongeurs à proximités des habitations. Nous avons ici aussi des rapaces diurnes et nocturnes, mais ils viennent rarement aussi près de la maison que les couleuvres. Un inconvénient avec celles qui viennent dans le foin, leur odeur qui persiste un peu dans le fourrage ; il faut faire attention de ne pas donner (ou attendre assez longtemps pour le faire) les bottes correspondantes aux lapins de clapier, sinon panique...
Ici les tomates commencent à arriver. Oh, pas des tablées débordantes, juste des petits groupes
Pour commencer, j'ai écrit il y a quelques jours, qu'à part Orange Jazz, les "grosses" tomates ne se développaient guère dans la serre pour le moment. Eh bien, ça a du vexer Rose de Pessac : "Bon, puisque c'est comme ça, je me casse...
Le deuxième bouquet s'est détaché peu après :
Du coup, séance d'accrochage, ici le premier bouquet du même plant, mais aussi d'autres.
Rose de Berne et Blush passent à la récolte de graines avant d'aller en salade.
(J'assure le coup avec les premières tomates bien conformées et mures ; on verra plus tard si les tomates issues de fleurs protégées viennent bien ; ici, du fait des activités familiales, ça a été en 2eme ou 3eme bouquet, et avec beaucoup de coulures - pics de chaleur et arrosages irrégulier pendant ce temps).
D'autres vont bientôt s'y présenter.
Joyau d'Oaxaca (entouré de haricots, comme mes autres tomates dans ce parc extérieur)
et Kaukasiche Liane
Arbuznyi souffre de craquelures (on en a parlé dans un autre suivi, mais là je suis bien incapable de deviner pourquoi il y aurait eu une modification brutale de disponibilité en éléments nutritifs).
Et les tomates de ce plant de Islandaises attirent toujours les gastéropodes, décidément !