Les Tomos

Ah du coup il faudrait que je m'adresse directement au préfet si ça se gère par département! C’est vrai que c'est carrément intelligent de ne pas priver les gens de ce droit... surtout qu"au jardin, on rencontre moins de monde qu'au supermarché...
Ou mieux encore au maire du village ?

On voit d'ailleurs que les préfets intelligents montrent l'exemple et l'État s'aligne sur eux, il suffit de voir la vente des plants potagers. Si des préfets vont plus loin en autorisant de rejoindre son potager distant, peut-être que ça sera généralisé au niveau national... On peut toujours rêver...

Vivent les préfets intelligents !

Oui, croisons les doigts !!

Yes !!! On y croit !!!

Salut !
Mes pérégrinations administratives avancent peu à peu... J'ai écrit à la mairie, l'adjoint m'a répondu que la mairie m’accordait une dérogation pour jardiner dans leur commune (car apparemment, les gens dans cette commune sont autorisés à se rendre à leurs jardins ouvriers !) mais que je devais avoir approbation de cette décision concernant mon cas par la gendarmerie vu que je venais du village d'à côté... donc me voilà à écrire de nouveau à la gendarmerie.

Coucou Alba !

J'ai essayé de trouver un texte national qui autoriserait à se déplacer à son potager non attenant à sa maison mais n'ai rien trouvé de probant.

Tu peux tenter d'interpeller ton préfet comme ça à déjà été fait: À priori, la verbalisation reste au jugement de l'agent assermenté...

Bon courage !

Arrrgh ! Donc je maintiens mes doigts croisés... (sauf quand ils sont sur le clavier )

Purée, toujours les mêmes réponses sibyllines !!

Mais là du coup, je vois grâce à ton post, Marie, que sur Tweeter, ça répond un peu vite, je vais tenter !

Forcément, leurs réponses sont toujours très conditionnelles, ils ne peuvent pas prendre de risques. Et qui leur reprocherait ? Si un préfet se montre trop laxiste avec ses administrés, et que par malheur le nombre de cas dans son département augmentait subitement, il serait pointé du doigt et éjecté. De même si la situation devient incontrôlable parce que tout un chacun commence à s'appuyer sur des précédents.