Les Tomos

Je pratique de la même façon : aucun arrosage en serre durant l'hiver, les premiers plants qui sortent le font lors des arrosages des plantes repiquées fin avril - début mai et ce sont fréquemment des rejetons de tomates cerises plantées à cet endroit quelques années avant... Donc quand je trouve un micro-emplacement où les loger, ils sont implantés dès fin mai - début juin alors que les suivants sont éradiqués sans remords

Allez hein, suite des photos :

L'ail rocambole. Un petit côté art moderne ...



Dans le bac toujours, des betteraves albina, au gout d'artichaut, et des radis noirs semés bien trop tôt, car il ne font leur grosse racine que lorsque les jours raccourcissent.



Un rosier tige pile poil au centre du potager



Bon quand même une photo du (principal) champ de tomates.
Comme j'ai été très raisonnable j'ai pu espacer jusqu'à 1m entre les pieds. Le luxe !

Il y a de la place entre les pieds de tomate, le grand luxe , et le sol est même carrelé !

Magnifique ton rosier Mogui, tes plants de tomate ne connaissent pas la promiscuité, ils vont pouvoir s'étirer au petit matin !

Il ressemble à Léonard de Vinci ton rosier.

Bien vu @Matou !
On voit qu'on a affaire à des spécialistes

Bon, la suite ...

Les Sharpo mira, d'une vigueur étonnante, et résistante à tout. Même les doryphores passent leur chemin



J'ai fait la grosse erreur un jour de laisser monter en graine un chénopde géant (ou chélopode pourpre)
Résultat, des millions de petits chénopode partout.
Et quand je séme des rutabagas, je récolte des chénopodes



De la Rue "fétide". Intéressant en cuisine, à condition de prendre quelques précautions.
On peut aussi l'utiliser en purin très répulsif (idem tanaisie mais plus puissant)
Longue floraison, assez esthétique



Des pucerons noirs partout, et de préférence bien sur sur les fèves, malgré le savon noir

La Rue Fetide, avec un nom comme ça, comment peux tu l'inviter dans ta cuisine !
J'ai vu qu'on la connaît aussi comme Rue odorante, tu l'utilises comment ?

Le gout est amer, particulier. Si on veut vraiment le rapprocher d'autre chose, je dirais l'estragon.
Quelques feuilles dans les pickles, les cornichons, les salades, les préparations à base de yaourt, les viandes (bœuf ou poulet), les omelettes aux herbes.

Je crois qu'elle était couramment utilisée au moyen-age. Il faudrait rechercher de quelle manière, mais je pense que c'était pour parfumer les sauves pour la viande ...
Je m'étais fortement intéressé à la cuisine du moyen-age il y a quelques années, d'ou ma recherche des condiments de l'époque, et les sauces (les dodines, le verjus, le garum ...)

Mais attention, au dessus d'une certaine dose, c'est très toxique, voire mortel

Où sont les poulardes ? J’ai faim ! Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses ? Où sont les fèves, les pâtés de cerf ? Qu’on ripaille à plein ventre pour oublier cette injustice ! Y’a pas quelques soissons avec de la bonne soivre, un porcelet, une chèvre rôtie, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuse-bouche m’ont mis en appétit.
Un peu de cuisine du moyen-âge Mogui !
Vu à la télé, il y a quelques années déjà, mais très loin du moyen-âge !

Les visiteurs