Les Tomos

Valde,

Cycle de vie de l'épeire diadème
L'épeire diadème ne vit qu'un an. La reproduction se tient en août-septembre et, comme chez de nombreuses araignées, le mâle plus petit que la femelle peut être dévoré. Pour échapper à ce funeste destin, il s’approche prudemment de sa dulcinée après lui avoir offert une proie dans le but d’assouvir son appétit. Pour optimiser les chances de fécondation, des dizaines de prétendants se présentent à la femelle qui n’est réceptive que 4 jours sur son année d’existence. Une fois fécondée, elle construit un cocon à l’abri des intempéries et des prédateurs : sous l’écorce d’un arbre, dans une anfractuosité rocheuse ou une fente de mur. Peu de temps après avoir pondu ses œufs et assuré sa descendance, l’épeire diadème meurt d’épuisement.

Bon bah elle n'est plus de ce monde...
Ici on a des araignées loup qui trimballent leurs petits fraichement éclos sur leur dos, c'est assez spectaculaire surtout si tu les déranges et que les petits décident de s'éparpiller dans tous les sens

Section des dernières greffes, dont Kootenai, qui est la première à tomber malade

Kootenai c'est un vrai plaisir à la cultiver tellement le feuillage est beau et sain, évidement si elle est maltraitée il lui pousse des trucs jaunes sur les côtés de la tige, mais pas de soucis dans quelques semaines cela vire au rouge et tu peut enfin enlever ces protubérances.

papo4334 a écrit : ↑17 avr. 2025, 07:43 Pour le PG trop petit
[*]ii) si d'ici une vingtaine de jour, son diamètre de tige atteint les ~6 mm ... (si, au contraire, il continue à rester chétif, tu le coupes sans aucun regret)

Ils sont restés chétifs, je coupe

Aujourd'hui, j'ai fait travailler mes muscles, transfert des Airpot "tomates" vers le jardin avant et remplissage (après remise en état et renforcement) d'une table de culture
Ce qui me permet de récupérer les Airpot vidés
Et de les amener vers les sacs de substrat "légumes" amendé et engraissé
Et de les remplir à nouveau
Je me refuse de compter le nombre d'Airpot à remplir, c'est mauvais pour le moral

tant que la brouette marche !

Même avec une brouette il y a moyen de se faire mal, ça doit faire son poids.

hello Chriscal !

c'est quoi exactement la composition de ton substrat ?
il est lourd, ou allégé avec apport conséquent de fibres ou tourbes végétales ?

j'ai vu dans un supermarché la commercialisation de sac de terreau "spécial pots et balconnières",
("ne convient pas pour les cultures en pleine terre" est-il mentionné sur le sac) ;
je suppose que c'est considérablement allégé, et donc, nécessite un apport nutritif au fil des arrosages ...

C'est à la fois simple et compliqué

Il faut savoir que j'ai commencé ces mélanges il y a 15 ans

Je ne sais pas si tu te rappelles, mais je débute toutes mes cultures en hydroponie, il n'empêche que la plupart des nutriments que j'utilise sont aussi destinés à la pleine terre. En plus, c'est du bio qui ne porte pas son nom, car comme les plantes, dans un premier temps, ne connaissent que de la fibre de coco et pas de la "vraie" terre, cela ne peut porter l'appellation bio.

Je suis fidèle, depuis mes débuts, à une marque franco-américaine qui a changé plusieurs fois de nom, de General Hydroponics à Terra Aquatica : https://www.terraaquatica.com/fr/.

J'utilise leur gamme Pro Organic. Au départ, il est certain que ces produits sont destinés à la production de cannabis, mais ils conviennent parfaitement à d'autres cultures. Comme il s'agit de hors sol, il faut composer ce qu'on appelle "la soupe" en fonction du stade de développement des plants. Au début, cela paraît compliqué, mais on s'y fait très vite. Je démarre dans des Airpot de 1l.
Ensuite, je passe au stade suivant
C'est-à-dire en Airpot de 3l, puis 5l, puis 10l et parfois plus, et là, tout change.
Le litre de coco est inséré dans un substrat plus classique, terre, terreau, compost et fumier.

Mais au fil des années, les amendements et engrais ont varié, il y a eu la période Or Brun, puis Bokashi, dans tous les cas divers purins, du compost et selon ma bonne fortune, différents terreaux. Le pourcentage de fibre de coco augmente aussi puisque chaque année j'insère du coco dans le substrat, ce qui le rend plus stable.

Je fais tourner ce substrat sur 3 ans : tomates, capsicum, légumes.

Cette année, j'y ajoute de l'Orgasyl et mieux, avec le conseil de Papo, de l'Osiryl, en plus du fumier de cheval, du terreau horticole et du lombricompost.

Comme engrais, c'est un mix de purin de consoude, quand j'en ai le courage (de moins en moins), du thé de Bokashi et, là je sors complètement du bio, je complémente, sous les conseils de Laurent, avec un engrais professionnel : https://icl-growingsolutions.com/fr-fr/ ... -finisher/.