C'est sec 23 mm depuis le début du mois, moins 50% en mars et avril, gel très léger depuis une quinzaine, les aubergines font la gueule le reste se porte bien, pour l'instant le sol est encore bien fertile des pluies de l'an passé mais il serait temps d'avoir de nouvelle pluie.
Pour une fois je commence par le dessert, beignet d'acacia.
Un plat de tomate par semaine, c'est pas encore de grosse récolte.
Les variétés greffées sont en floraison et deux commencent à former les fruits, rose de Berne et Matina.
La table est prête pour immortaliser les récoltes.
Le potager est en ordre, les limaces font grise mine avec ce temps sec, mais les grandes dents des campagnols attaquent mes lagénaria.
Multi greffe, c'est toujours aussi difficile d'établir un bon équilibre entre les trois variétés, je suis obligé de raccourcir celle du dessus qui reçoit la sève plus facilement.
Les floraisons continuent ce qui fait le bonheur des abeilles.
Envol du clairon des abeilles sur fleur de camassia.
Semaine intense, les moineaux attaquent la deuxième couvée, les rouge queue alimentent les petits à quelques mètres de notre table, naissance et première sortie chez les mésanges bleues et charbonnières, tout cela sous la surveillance du faucon crécerelle.
+ de 500 photos cette semaine, toutes dans mon jardin, alors aujourd'hui je me censure, uniquement le casse croute des rouge queue, et un petit aperçu des jeunes mésanges.
" enfouir des graines dans le sol est un geste rassurant. Même si elles ne germent pas. Car c'est un acte d'espoir. On plante le récit d'un futur possible.
Agnès Ledig.
En tout cas les cigognes pullulent en Espagne, et je n'ai jamais entendu parler d'un quelconque impact écologique, son régime alimentaire assez large et opportuniste fait qu'elle va consommer en priorité les proies les plus abondantes.
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