Les Tomos

Oups , si tu passes par là Mr. S .... tu pourras mettre tes commentaires dans le sujet ouvert par Wilfrid !

Bonjour Fouque,
idée génial la manière de repiquer les poireaux malgré que je ne les cultives plus depuis des années j'explique à mes amis qui en mettent comment tu fais et ils trouvent cela intéressant pour avoir des grands blancs.

Slt JPP,

c'est exactement cela l'intérêt de tracer un sillon et faire un trou dans le fond : dans un premier temps je les laisse se développer, puis une fois suffisamment grands je procède à un désherbage et une égalisation du terrain, et pour la finition en hiver je ramène de la terre autour (bon, pas non plus des buttes comme pour les PdT, mais l'équivalent en hauteur de la profondeur initiale du sillon), ce qui fait que la plante allonge son blanc pour avoir les feuilles qui dépassent du sol

Quelle organisation! Et quelle équipe!
Pour les poireaux, j'en ai un que j'ai laissé monter en fleurs pour récupérer les graines, mais les fleurs ne semblent toujours pas vouloir lâcher ces graines!
Pourtant, c'est bien sec par ici!
Bon jardinage en équipe!

Slt les totos

pas eu trop le temps de jardiner ces derniers temps, alors juste une parenthèse bucolique dans la cour de la maison, où la passiflore, passée une première phase de floraison intense, voit maintenant ses fruits mûrir en masse. En résumé ça donne ça :
Avant Après Dans une terrine où j'avais repiqué un dwarf 'Aftershock ' est apparue spontanément une mélothrie ressemée toute seule Je vous présente donc ma version totalement involontaire de milpa Ce soir il est prévu que j'arrose le jardin... Avec la chaleur actuelle et l'absence de pluie, il va falloir surveiller les repiquages de poireaux et salades sinon ça va dessécher Dans la serre le changement de couleur se généralise, une séance de shooting est prévue aussi

À bientôt pour la suite.

Je repique les poireaux exactement comme toi, droits au fond d'un profond sillon.
Ils reprennent mieux, grossissent bien, et font de longs blancs

Mais attention, avec cette technique il est impératif de couper les racines assez court, sinon il y a le risque que celles ci remontent sur les côtés du poireaux dans le trou, et c'est pas bon du tout.


Tiens, j'ai fait un petit dessin

Slt mogui,

pas de souci pour la taille du chevelu racinaire, c'est ma femme qui s'en est occupée et je peux te certifier qu'autant elle détestait ma coupe militaire (que j'ai du abandonner il y a bien des années après m'être fait traiter de bagnard, chéri bibi... en sortant de chez le merlan ), autant les poireaux ont droit à une coupe au sabot de 5 (racines et feuilles) avant leur transplantation Et je n'ai jamais eu à souffrir du problème que tu mentionnes, mais pour ceux qui voudraient tester ma méthode c'est bien de signaler une erreur à ne pas commettre

Le dessin vaut mieux que tous les discours !
Pour éviter le cas "mauvais" on fait un trou au plantoir un peu plus profond que la longueur du poireau et on fait un mouvement de retrait lorsque le poireau touche le fond ce qui a pour effet de remettre les éventuelles racines dans le bon sens puis on borne le plant en laissant ouvert le dernier trou du plantoir :à l'arrosage l'eau ira jusqu'aux racines + facilement et le trou se refermera tout seul.

Bonne culture!

Je précisais ça parce qu’il y a eu tout un débat sur l'utilité d'"habiller" les poireaux.
J'ai donc testé l'année dernière 50% de poireaux avec toutes leurs racines et 50% avec 1,5 cm de racines.
Et à l'arrivée, c'est grosso modo le même résultat.

Sauf que, et bien que comme Choupa le préconise, je joue un peu avec le poireau dans son trou pour tenter de bien placer les racines (j'en vois au fond qui ont l'esprit mal tourné là ,vous viendrez me voir à la fin du cours), la plupart des poireaux "habillés" plongeaient leur racines plus en profondeur et nécessitaient moins d'arrosages.
Donc il me semble que c'est la seule utilité de couper les racines, mais c'est une utilité réelle.

Même méthode, comblement hydraulique, sauf que mes poireaux sont en mottes