J'ai pris l'habitude chaque année de "sauver" 3 des tomates sauvages qui poussaient
dans le compost utilisé pour mes cultures. Je les appelle mes "cornets surprise" en souvenir
de ce qu'étant gosse on reçevait dans les kermesses et autres manifestations paroissiales
ces cornets mystérieux remplis de bonbons et de bibelots.
Je ne sais donc pas ce qui va en sortir sinon que j'utilise un compost rapide qui avait été
rempli en 2019, s'est reposé en 2020, est mûr en 2021. Les tomates sauvages seront donc de
celles que j'avais cultivées en 2019, 59 plants tous des variétés différentes.
Deux ont trouvé la place que je leur avait réservée au jardin quant à la
3ème elle est vraiment en sur-surnombre je la mettrai dans le dernier pot restant.
C'est l'occasion d'illustrer comment je procède.
Photo 1 tomate replantés dans son pot. A noter le paillage que j'ai utilisé :
deux couches d'écorce prise d'arbres abattus dans la forêt toute proche. Je n'utilise pas
de tuteurs à spirales pour les tomates ils sont réservés pour les concombres.
Photo 2. Je vais donc devoir supporter les plants de tomates au moyens d'attaches. Beaucoup.
Chez moi ce sont des bas que ma femme ou mes filles n'utilisent plus, coupés en lamelles.
Photo 3 et 4 Le nom inscrit sur morceau de gobelet de yogurth est attaché au plus haut du piquet.
Petite histoire. Un jardinier professionnel du coin notait méticuleusement ses tomates avec des étiquettes
sophistiquées et les plantait au pied de ses tomates. Il y a 2 ans il est venu chercher de l'aide
chez moi avec plusieurs sortes de tomates, désespéré il n'arrivait plus à les identifier. Des enfants en liberté avaient
joué dans son jardin... Avec les étiquettes
Photo 5 Enfin ajout d'un étui de protection. Ce plant va en avoir bien besoin puisque je n'ai
plus de place abritée pour lui et il va vagabonder au gré des dispositions.
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