Les Tomos

Alain a peut-être trouvé le "the" traitement... eurêka !

Alain60 a écrit : ↑16 juil. 2020, 10:43Je ne sais pas si tu arrives à voir ce que tu voulais vérifier !

Merci Alain... Oui, cela confirme que je vais continuer à penser que de ne pas tailler le feuillage permet d'avoir le temps de réagir en cas d'attaque... et même si tes premières tomates ont souffert de l'attaque, celles du haut vont continuer à se développer normalement et bénéficier de la photosynthèse nécessaire à l'apport de sucre... Comme je l'ai dit précédemment sur le forum, j'ai subi la même chose que toi avec une course contre la montre avec mimile que j'avais réussi à maîtriser jusqu'à la fin de saison mais je n'avais pas pris de photo à l'époque ... juste je me rappelle que cela avait touché entre autres un pied de JOYAU D'OAXACAN qui était ENORME....

Linquat,
je n'avais rien taillé avant l'attaque, les tomates du bas étaient complètement recouvertes par les feuilles, un peu comme sur la photo de Cow-boy.

Oui, je l'avais compris ainsi

Linquat,
Voilà une photo du 12 Juin des mêmes pieds de tomates mais photographiées de l'autre coté.
On ne distingue pas les tomates, pourtant elles sont bien là sous les feuilles !
.

Bonjour les amis,

Je me posais cette question car, jusqu'à présent, j'ai reconduit les mêmes variétés anciennes sans attaque de mildiou depuis une bonne dizaine d'années (contrairement à mes cucurbitacées ont déjà eu plusieurs fois l'odium).
Pourquoi pas les tomates, je ne sais pas... J'imaginais que les variétés anciennes y étaient peut-être pour quelque chose.
Depuis que je suis le forum, j'aimerais introduire d'autres variétés ( j'ai déjà mes petites idées) , mais, en même temps, je me pose beaucoup de questions car je voudrais maintenir une forme d'équilibre sur cette culture.
Vos constats contredisent un peu mes hypothèses...
Il est probable que les maladies proviennent de plusieurs facteurs qui se conjuguent.

Le fait d’être épargné par le mildiou est sans doute la résultante de plusieurs facteurs climatiques et sans doute aussi lié à ta pratique culturale; mais je suis convaincu que ce n'est pas imputable au facteur "tomates anciennes". Je ne pense pas du tout que cela soit le facteur principal. Les retours des autres Tomos tendent à le démontrer.

je comprends que tu aies peur d'introduire de nouvelles variétés qui pourraient déséquilibrer tes cultures habituelles !
Mais concernant l’oïdium et le mildiou, ce sont deux champs bien différents; moi aussi j'ai de l’oïdium en fin de saison sur toutes les cucurbitacées mais pas sur les tomates.

j'ai été contacter par une personne qui n'a jamais eu le mildiou dans sa serre et cette année au mois de juin ces plants l'avaient, je sais qu'il arrosait le soir est-ce çà . Je lui ai demander si l'arrosage se faisait toujours en soirée depuis qu'il avait la serre et sa réponse à été '' OUI '' donc pourquoi en 2020 et pas avant

Cette année, j'ai eu de l'oïdium sur les feuilles de mes consoudes et c'est la première fois que je vois ça ... généralement, elles sont sujettes à la rouille ... Quoiqu'il en soit, oÏdium, rouille, je n'interviens plus depuis longtemps... je coupe ce qui est atteint seulement... pour contrecarrer l'oïdium sur les courgettes, il faut simplement prévoir des semis espacés dans le temps (comme les haricots verts) ... quand un plant de courgette est vraiment trop atteint, je l'arrache et ceux qui ont été plantés après prennent le relais...
Pour ce qui concerne Mimile, je pense comme Alain... la cause principale est le facteur climatique... et cela concerne les solanacées en général... il y a des variétés qui résistent mieux... mais c'est souvent parce que la main de l'homme est intervenue... et moi, je crains la main de l'homme les Belges en savent quelque chose avec leurs variétés de PDT résistantes

Le fait d’être épargné par le mildiou est sans doute la résultante de plusieurs facteurs climatiques et sans doute aussi lié à ta pratique culturale; mais je suis convaincu que ce n'est pas imputable au facteur "tomates anciennes". Je ne pense pas du tout que cela soit le facteur principal. Les retours des autres Tomos tendent à le démontrer.

Oui, les expériences des uns et des autres vont dans ce sens...

En effet, je pense que certains facteurs jouent peut-être en faveur de mes tomates ( le sol sableux sur 5 m environ, bien pour le drainage) la culture en pente située dans une sorte de couloir assez venté (aération) l'orientation ( plein sud) et l'espace entre les pieds.
C''est peut-être plus le facteur rusticité qui est important plus que l'ancienneté, même si on imagine que les tomates anciennes se sont imposées au fil du temps par certaines qualités, notamment cette rusticité.

J'imagine aussi qu'on doit pouvoir dynamiser sa collection en tenant compte quand même de certains facteurs objectifs.
En tout cas, l'expérience des uns et des autres est très utile.