Les Tomos

C'est tellement ma vie Anne...

Eh oui, bienvenue au club !

Il y a l'aspect financier, mais aussi la continuité du projet, avec des années qui passent si vite la question de la continuité devient vite incontournable, c'est déjà un problème pour des plantations alors un élevage !!!

Bonsoir Anne,
Je comprends, j’aimerai un plus grand espace mais je me rends bien compte qu’il serait rapidement peuplé d’un tas de bestioles, d’un autre côté pour l’instant ce n’est pas possible donc je suis assez pragmatique, il faut faire avec ce qu’on a, je lis avec plaisir donc ton post, je m’informe et m’instruit au cas où , et peut être qu’un jour tout ce savoir me servira et dans le cas contraire ce n’est pas grave

Bon, j'ai sondé ma chère et tendre hier, les coureurs indiens ne sont clairement pas à l'ordre du jour... Mais le cognassier, ça pourrait se faire à condition qu'il n'occupe pas trop de place. En fait on a des voisins qui nous donnent des coings chaque année, mais véreux, souvent petits, et ils les cueillent beaucoup trop tôt (là ils viennent de me les donner, mais forcément ils commençaient tout juste à passer du vert au jaune). Du coup je suis toujours frustré parce que j'aime trop la gelée de coings, mais ça suppose d'avoir des bons coings sinon ça n'a aucun goût

Pour revenir au sujet de ce fil, je continuerai donc à suivre les aventures de tes coureurs indiens, en attendant un jour où elle aura changé d'avis sur ces petits palmidés.

Bon, tu as déjà eu gain de cause pour le cognassier, c'est pas si mal.
Effectivement c'est dommage que tes voisins cueillent leurs coings avant maturité optimale. C'est pour tous les fruits pareil, cueillis trop tôt, c'est pas bon. C'est pour ça aussi qu'on se régale rarement avec les ceux du commerce.
Quant aux, vers, malheureusement, quand on ne veut pas traiter, à part se résigner, on ne peut pas faire grand chose.
Pour les coureurs Indiens, tout n'est pas perdu, ta douce acceptera sans doute un jour, si elle voit que tu en as très envie et que ça te ferait vraiment plaisir. .

De l'avantage d'avoir une voisine sympa qui bosse dans un magasin de fruits et légumes.
On trouve régulièrement devant le portail de quoi gâter royalement la famille à plumes.

Dalanar, c'est sûr que si ta femme ne connait que les coings des voisins, ça ne donne pas envie !

super la voisine, Anne !
ça aide...
mes parents ont des voisins comme ça...
et eux donnent d'autres restes à d'autres bestioles du quartier !

C'est précieux des voisins comme ça, Anne ! De mon côté, j'ai de temps à autre un sac de pain sec qui attend, accroché à la clôture, ou une voisine en face qui nous donne des épluchures de pommes ou carottes.

Pour les coings, heureusement ma femme a déjà goûté de bons coings (enfin, de la bonne gelée de coings), mais ce doit être de famille, le point de vue sur le coing est malheureusement assez négatif. Au vu de la réaction de ma belle-mère qui ne pensait qu'à la corvée d'épluchage (tout dépend ce qu'on veut faire du coing, puisque pour la gelée l'épluchage est inutile, et puis avec un bon économe ça se fait sans souci).

Oui, j'ai un bon réseau bien sympa qui fait le bonheur de ma ménagerie.
La voisine et ma maraîchère assurent côté fruits et légumes.
La restauratrice fournit des plats cuisinés. C'est dingue, il y a des entrecôtes, des magrets, des gâteaux, à peine entamés, des garnitures mijotées, dernièrement, des lasagnes ont eu un succès fou.
Et le boulanger me donne régulièrement de pleins sacs de pain dur, et de viennoiseries et gâteaux rassis.
De mon côté, j'avoue qu'entre les chiennes, les chattes et la basse-cour, je n'ai pas grand chose à donner. De quoi qu'il s'agisse, il y a toujours un amateur ou une amatrice sur place.
Si ce n'est que comme la famille et tous les copains me gardent leur pain sec, et qu'on dirait qu'ils se donnent tous le mot pour me le filer en même temps, il m'arrive régulièrement de me retrouver avec des quantités énormes que je ne peux pas stocker, auquel cas, j'en fais profiter mon cousin et une copine qui ont des chevaux.
Je suis doublement contente de récupérer tout ça, parce que sinon, ça partirait à la poubelle. Le gaspillage alimentaire n'est pas un mythe.