Présentation dom38
Publié : 10 janv. 2019, 13:54
Bonjour à tous,
J'ai 63 ans, je suis à la retraite depuis 1 an. J'habite depuis 25 ans environ une petite maison avec un tout petit potager dans une petite commune à côté de Grenoble au pied du Vercors.
Ma terre est argileuse : les plantes spontanées qui y poussent sont essentiellement la prêle et le plantain, donc une terre lourde, acide et humide. Elle a ses inconvénients (elle est longue à chauffer au printemps, elle ne peut pas être travaillée tant que le sol est trop humide, les plantes racines ont beaucoup de mal à se développer), mais elle a aussi ses avantages (elle retient bien l'eau et cela me permet de ne pratiquement pas l'arroser, les vers de terre s'y développent bien et j'ai l'impression qu'elle résiste mieux au mildiou).
Mon potager derrière la maison ne fait que 40 m², ce qui est vraiment très petit : si j'enlève en plus la place que me prennent les plantes vivaces (framboisiers, fraisiers, plantes aromatiques et petit espace pour une tentative de jardin perpétuel attaqué l'année dernière (ail et oignon rocambole, poireau perpétuel, chou daubenton, semis d'artichaut vert de Laon, chayotte plantée aussi l'année dernière, qui m'a donné royalement 15 fruits et que j'espère bien voir ressortir au printemps), il ne me reste guère que 20m² à cultiver, essentiellement une trentaine de pieds de tomates et quelques courges, courgettes et haricots.
Ma technique de culture est simple : à l'entrée de l'hiver, je couvre le sol avec les feuilles de mes arbres fruitiers qui sont devant la maison, en février semis de tomates en intérieur derrière une vitre à partir des graines récoltées les années précédentes, grelinette pour aérer le sol, tunnel au printemps après avoir aéré le sol pour réchauffer la terre (sous lequel je sors les jeunes plants les jours où il fait beau), puis plantation (j'arrose au moment de la plantation et après je n'arrose plus sauf en cas de longue canicule), je ne traite pas et après j'attends de voir si ça pousse ou pas : bon, heureusement que je ne compte pas sur mon potager pour me nourrir, parce qu'il faut bien avouer que ça ne marche pas à tous les coups.
J'ai 63 ans, je suis à la retraite depuis 1 an. J'habite depuis 25 ans environ une petite maison avec un tout petit potager dans une petite commune à côté de Grenoble au pied du Vercors.
Ma terre est argileuse : les plantes spontanées qui y poussent sont essentiellement la prêle et le plantain, donc une terre lourde, acide et humide. Elle a ses inconvénients (elle est longue à chauffer au printemps, elle ne peut pas être travaillée tant que le sol est trop humide, les plantes racines ont beaucoup de mal à se développer), mais elle a aussi ses avantages (elle retient bien l'eau et cela me permet de ne pratiquement pas l'arroser, les vers de terre s'y développent bien et j'ai l'impression qu'elle résiste mieux au mildiou).
Mon potager derrière la maison ne fait que 40 m², ce qui est vraiment très petit : si j'enlève en plus la place que me prennent les plantes vivaces (framboisiers, fraisiers, plantes aromatiques et petit espace pour une tentative de jardin perpétuel attaqué l'année dernière (ail et oignon rocambole, poireau perpétuel, chou daubenton, semis d'artichaut vert de Laon, chayotte plantée aussi l'année dernière, qui m'a donné royalement 15 fruits et que j'espère bien voir ressortir au printemps), il ne me reste guère que 20m² à cultiver, essentiellement une trentaine de pieds de tomates et quelques courges, courgettes et haricots.
Ma technique de culture est simple : à l'entrée de l'hiver, je couvre le sol avec les feuilles de mes arbres fruitiers qui sont devant la maison, en février semis de tomates en intérieur derrière une vitre à partir des graines récoltées les années précédentes, grelinette pour aérer le sol, tunnel au printemps après avoir aéré le sol pour réchauffer la terre (sous lequel je sors les jeunes plants les jours où il fait beau), puis plantation (j'arrose au moment de la plantation et après je n'arrose plus sauf en cas de longue canicule), je ne traite pas et après j'attends de voir si ça pousse ou pas : bon, heureusement que je ne compte pas sur mon potager pour me nourrir, parce qu'il faut bien avouer que ça ne marche pas à tous les coups.