Alvige le Vendéen
Publié : 26 mai 2021, 21:40
Bonsoir à tous
Cela fait quelque temps que je consulte plutôt régulièrement ce forum, je m'y suis inscrit ce matin mais y ai mis la charrue avant les bœufs en postant du côté des poupos plutôt que de me présenter
. Je répare ce soir cette impolitesse, voici de quoi il ressort...
Jardinier disons très moyen, je m'investis d'avantage depuis quelques années avec enfin des résultats probants, en développant deux axes :
- permaculture au sens basique du terme ;
- hydroponie.
Sur le second point, ne voyez ni provocation, ni prosélytisme
.
Je n'achète aucun plant, fraisiers exceptés, je procède systématiquement de semis ou de boutures, ce qui m'impose l'éclairage artificiel pour les tomates et les piments ; c'est d'ailleurs plutôt sur ce thème cher à papo que je consultais jusqu'à présent le forum. Cela ne m'empêche surtout pas de lire et d'apprécier les autres contributions des tomatophiles passionnés autant que partageurs que vous êtes.
Permaculture basique ? 5 buttes sur environ 50m² ont été progressivement élevées sur mes anciennes planches plus arides que fertiles, avec des matières uniquement issues des ressources du foyer : compostage, tontes, feuilles. Plus jamais de travail de la terre, je suis surpris chaque printemps de m'enfoncer le bras jusqu'au coude dans ce terreau que les vers et autres bestioles m'ont préparé. Ce jardin classique est réservé aux cucurbitacées et aux haricots à rame.
Hydroponie ? Cela répond plutôt à ma curiosité disons... scientifique ! En fait, ce sujet qui est le principal moteur de mon activité de jardinier est né de la nécessité de cultiver d'abord en intérieur les tomates et les piments/poivrons sous éclairage artificiel pour alimenter la serre. Et de fil en aiguille, la laine de roche a remplacé le terreau pour les semis, etc.
Au départ, la serre (12m²) sur dalle pavée était équipée de bacs de terreau bien compartimentés. Après 2 années, le problème des bacs, c'était l'absence de vie, malgré le renouvellement annuel du terreau en surface, il ne se passait rien à l'intérieur. Quand je les ai démantelés pour passer en hydroponie, dans le terreau, il n'y avait rien ! La serre est désormais à 100% en hydroponie, j'entame ma 3ème saison de ce type de culture. Activité qui se poursuit de l'automne au printemps avec les choux et les salades d'hiver...
Parallèlement, j'ai bricolé quelques systèmes basiques pour la salade, puis pour les fraises. Une saison 2019 pour essayer et cerner, une saison 2020 pour concrétiser : 1200 litres d'eau et 2,4 litres d'engrais, 15 plants frigos au départ, plus de 26 kg de fraises à l'arrivée. Pour 2021, j'ai doublé mon système...
Et les 2 philosophies ne font plus qu'une quand l'eau de vidange des bacs hydros arrose le jardin classique et les quelques parterres de vivaces ; cette eau riche des restes d'engrais est une aubaine...
Voilà en ce qui me concerne, mais l'essentiel, c'est que ce jeudi le printemps frappe enfin à notre porte, il était temps !
Cela fait quelque temps que je consulte plutôt régulièrement ce forum, je m'y suis inscrit ce matin mais y ai mis la charrue avant les bœufs en postant du côté des poupos plutôt que de me présenter
. Je répare ce soir cette impolitesse, voici de quoi il ressort...Jardinier disons très moyen, je m'investis d'avantage depuis quelques années avec enfin des résultats probants, en développant deux axes :
- permaculture au sens basique du terme ;
- hydroponie.
Sur le second point, ne voyez ni provocation, ni prosélytisme
.Je n'achète aucun plant, fraisiers exceptés, je procède systématiquement de semis ou de boutures, ce qui m'impose l'éclairage artificiel pour les tomates et les piments ; c'est d'ailleurs plutôt sur ce thème cher à papo que je consultais jusqu'à présent le forum. Cela ne m'empêche surtout pas de lire et d'apprécier les autres contributions des tomatophiles passionnés autant que partageurs que vous êtes.
Permaculture basique ? 5 buttes sur environ 50m² ont été progressivement élevées sur mes anciennes planches plus arides que fertiles, avec des matières uniquement issues des ressources du foyer : compostage, tontes, feuilles. Plus jamais de travail de la terre, je suis surpris chaque printemps de m'enfoncer le bras jusqu'au coude dans ce terreau que les vers et autres bestioles m'ont préparé. Ce jardin classique est réservé aux cucurbitacées et aux haricots à rame.
Hydroponie ? Cela répond plutôt à ma curiosité disons... scientifique ! En fait, ce sujet qui est le principal moteur de mon activité de jardinier est né de la nécessité de cultiver d'abord en intérieur les tomates et les piments/poivrons sous éclairage artificiel pour alimenter la serre. Et de fil en aiguille, la laine de roche a remplacé le terreau pour les semis, etc.
Au départ, la serre (12m²) sur dalle pavée était équipée de bacs de terreau bien compartimentés. Après 2 années, le problème des bacs, c'était l'absence de vie, malgré le renouvellement annuel du terreau en surface, il ne se passait rien à l'intérieur. Quand je les ai démantelés pour passer en hydroponie, dans le terreau, il n'y avait rien ! La serre est désormais à 100% en hydroponie, j'entame ma 3ème saison de ce type de culture. Activité qui se poursuit de l'automne au printemps avec les choux et les salades d'hiver...
Parallèlement, j'ai bricolé quelques systèmes basiques pour la salade, puis pour les fraises. Une saison 2019 pour essayer et cerner, une saison 2020 pour concrétiser : 1200 litres d'eau et 2,4 litres d'engrais, 15 plants frigos au départ, plus de 26 kg de fraises à l'arrivée. Pour 2021, j'ai doublé mon système...
Et les 2 philosophies ne font plus qu'une quand l'eau de vidange des bacs hydros arrose le jardin classique et les quelques parterres de vivaces ; cette eau riche des restes d'engrais est une aubaine...
Voilà en ce qui me concerne, mais l'essentiel, c'est que ce jeudi le printemps frappe enfin à notre porte, il était temps !
