2019, Papillon bleu et ses belles au pied de la Citadelle...
Publié : 30 janv. 2019, 16:51
Et voilà, je prends enfin le temps d'ouvrir mon suivi 2019...
Mais tout d'abord retour sur la saison passée...
Qu'on se le dise, je n'ai jamais aussi bien réussi mes tomates qu'à Sisteron, pourtant... sol argileux et caillouteux, petite parcelle de 50 m2, rien n'augurait de bon, rien ne me laissait penser à la joie et au bonheur de cette année de transition.
Petit rappel, je viens de tout près du pont où l'on danse tous en rond, j'ai suivi l'Amoureux à Briançon (L'Amoureux pour les petits nouveaux c'est mon mec, mais aussi, mais surtout, mon mari et le papa du Petit Papillon qui est une fille, ma fille, euh pardon, notre fille, et qui n'est plus si petite que cela, 14 ans déjà !) pour nous retrouver au bout de deux ans à Sisteron (à l'automne 2017).
Donc l'été dernier, première saison à Sisteron, que du bonheur ! Déjà il a fallu faire un choix drastique car avec 50 m2 et un mec qui te dit qu'il a envie de bien d'autres choses que des tomates, ce n'est pas si simple, arrrrgh !!!
Après moultes discussions, l'Amoureux m'a concédé une belle moitié de parcelle sans compter quelques pots sur la terrasse, au total 41 plants de tomates... une véritable punition et pourtant...
Je suis repartie dans le même esprit, car sincèrement, après le passage délicat de la frustration (pour la petite histoire j'ai eu jusqu'à 140 pieds dans mon ex potager, ce qui n'est rien au regard de certains
) nous avons l'un comme l'autre apprécié cette disette forcée...
Comment vous dire, une quarantaine de pieds, cela veut dire que tu peux les bichonner, les voir pousser, les attacher, les secourir, cueillir les tomates au bon moment, ne pas voir la moitié de ta récolte, quand il ne s'agit pas de tes plants, fichus, pourris par terre... Non, non, tu cueilles tranquillement, tu as le temps de noter, d'étudier, de comparer, de déguster... même quand tu as une vie un brin trépidente à côté !
A de rares exceptions près, tous les plants ont très joliment donné. Nous nous sommes régalés de la mi-juillet à la fin août, après il a fallu composer avec les punaises qui sont venues danser sur nos jolies solanacées, avec les dégâts, y compris gustatifs que l'on connaît... la récolte s'est poursuivie jusqu'à la mi-septembre, puis il a fallu se résoudre peu à peu à laisser de côté salades, tartes, crumbles et se concentrer sur les sauces et les derniers coulis...

Mais tout d'abord retour sur la saison passée...

Qu'on se le dise, je n'ai jamais aussi bien réussi mes tomates qu'à Sisteron, pourtant... sol argileux et caillouteux, petite parcelle de 50 m2, rien n'augurait de bon, rien ne me laissait penser à la joie et au bonheur de cette année de transition.
Petit rappel, je viens de tout près du pont où l'on danse tous en rond, j'ai suivi l'Amoureux à Briançon (L'Amoureux pour les petits nouveaux c'est mon mec, mais aussi, mais surtout, mon mari et le papa du Petit Papillon qui est une fille, ma fille, euh pardon, notre fille, et qui n'est plus si petite que cela, 14 ans déjà !) pour nous retrouver au bout de deux ans à Sisteron (à l'automne 2017).
Donc l'été dernier, première saison à Sisteron, que du bonheur ! Déjà il a fallu faire un choix drastique car avec 50 m2 et un mec qui te dit qu'il a envie de bien d'autres choses que des tomates, ce n'est pas si simple, arrrrgh !!!

Après moultes discussions, l'Amoureux m'a concédé une belle moitié de parcelle sans compter quelques pots sur la terrasse, au total 41 plants de tomates... une véritable punition et pourtant...
Je suis repartie dans le même esprit, car sincèrement, après le passage délicat de la frustration (pour la petite histoire j'ai eu jusqu'à 140 pieds dans mon ex potager, ce qui n'est rien au regard de certains

Comment vous dire, une quarantaine de pieds, cela veut dire que tu peux les bichonner, les voir pousser, les attacher, les secourir, cueillir les tomates au bon moment, ne pas voir la moitié de ta récolte, quand il ne s'agit pas de tes plants, fichus, pourris par terre... Non, non, tu cueilles tranquillement, tu as le temps de noter, d'étudier, de comparer, de déguster... même quand tu as une vie un brin trépidente à côté !
A de rares exceptions près, tous les plants ont très joliment donné. Nous nous sommes régalés de la mi-juillet à la fin août, après il a fallu composer avec les punaises qui sont venues danser sur nos jolies solanacées, avec les dégâts, y compris gustatifs que l'on connaît... la récolte s'est poursuivie jusqu'à la mi-septembre, puis il a fallu se résoudre peu à peu à laisser de côté salades, tartes, crumbles et se concentrer sur les sauces et les derniers coulis...