Présentation Delphes
Publié : 30 déc. 2018, 14:24
Bonjour,
Je suis Delphine, Franc-Comtoise d’adoption dans un micro village, après avoir passé toute ma vie dans la capitale, dans un micro appartement.
Je suis comptable à temps partiel dans une association d’éducation populaire qui fait du spectacle vivant et du cinéma itinérant. Le reste du temps, j’entraine au club de gym local, je file des coups de main administratifs autour de moi (parce que c’est à mon avis le seul moyen de donner du sens à mon métier) et pour l’éclate, je fais des lectures en école maternelle avec l’association « lire et faire lire ».
J’ai un beau terrain de jeu que je partage avec mon compagnon. Nous faisons potager séparé, parce que là où je suis courbe, il est très carré, et j’ai beaucoup de mal à supporter les conflits. Je lui donne donc ce qu’il doit planter, et chacun fait comme il a envie.
J’ai une serre dont je ne me sers pas comme il faut (pas encore trouvé un bon moyen pour arroser), mais je ne désespère pas un jour d’arriver à avoir des salades au début du printemps.
Comme on dit à l’école ; « Beaucoup de volonté mais moyens limités ». Je suis très objectivement une nullité en matière de jardinage, mais je m’accroche. J’essaie des trucs, je rate, je rate, je rate, et un jour (mais pas à chaque fois), ça commence à mieux marcher. Le truc que je ne m’explique pas, c’est que les plantes que je tente de mettre dans mon jardin viennent infiniment mieux spontanément que quand je les sème ou plante moi-même. Du coup, quand il s’agit de désherber, je bloque, parce que cette plantule-là, je sais qu’elle fera de jolie fleurs ou qu’elle est comestible (peut-être), donc je n’arrive pas à l’arracher. Ah oui, mon autre plaisir, c’est la botanique ; connaitre le petit nom de ce qui pousse chez moi, je trouve que c’est le minimum pour être un bon hôte.
En plus de ça, je suis trèèèèèès lente à faire les choses, et donc chaque année je suis stupéfaite de la vitesse à laquelle peut pousser l’herbe ! En une nuit, j’ai des graminée au niveau de mes dessous de bras, sans que j’aie rien vu venir.
Du coup, comme ce que je plante met en moyenne 2 ans à s’installer, je me passionne pour les plantes vivaces comestibles parce qu’il faut joindre l’utile au beau et bon. J’ai commencé l’an passé un potager perpétuel, le résultat est… comment dirais-je… mitigé. Mais bon puisqu’il faut 2 ans, j’imagine que l’an prochain ça devrait mieux se passer.
Je suis Delphine, Franc-Comtoise d’adoption dans un micro village, après avoir passé toute ma vie dans la capitale, dans un micro appartement.
Je suis comptable à temps partiel dans une association d’éducation populaire qui fait du spectacle vivant et du cinéma itinérant. Le reste du temps, j’entraine au club de gym local, je file des coups de main administratifs autour de moi (parce que c’est à mon avis le seul moyen de donner du sens à mon métier) et pour l’éclate, je fais des lectures en école maternelle avec l’association « lire et faire lire ».
J’ai un beau terrain de jeu que je partage avec mon compagnon. Nous faisons potager séparé, parce que là où je suis courbe, il est très carré, et j’ai beaucoup de mal à supporter les conflits. Je lui donne donc ce qu’il doit planter, et chacun fait comme il a envie.
J’ai une serre dont je ne me sers pas comme il faut (pas encore trouvé un bon moyen pour arroser), mais je ne désespère pas un jour d’arriver à avoir des salades au début du printemps.
Comme on dit à l’école ; « Beaucoup de volonté mais moyens limités ». Je suis très objectivement une nullité en matière de jardinage, mais je m’accroche. J’essaie des trucs, je rate, je rate, je rate, et un jour (mais pas à chaque fois), ça commence à mieux marcher. Le truc que je ne m’explique pas, c’est que les plantes que je tente de mettre dans mon jardin viennent infiniment mieux spontanément que quand je les sème ou plante moi-même. Du coup, quand il s’agit de désherber, je bloque, parce que cette plantule-là, je sais qu’elle fera de jolie fleurs ou qu’elle est comestible (peut-être), donc je n’arrive pas à l’arracher. Ah oui, mon autre plaisir, c’est la botanique ; connaitre le petit nom de ce qui pousse chez moi, je trouve que c’est le minimum pour être un bon hôte.
En plus de ça, je suis trèèèèèès lente à faire les choses, et donc chaque année je suis stupéfaite de la vitesse à laquelle peut pousser l’herbe ! En une nuit, j’ai des graminée au niveau de mes dessous de bras, sans que j’aie rien vu venir.
Du coup, comme ce que je plante met en moyenne 2 ans à s’installer, je me passionne pour les plantes vivaces comestibles parce qu’il faut joindre l’utile au beau et bon. J’ai commencé l’an passé un potager perpétuel, le résultat est… comment dirais-je… mitigé. Mais bon puisqu’il faut 2 ans, j’imagine que l’an prochain ça devrait mieux se passer.