
Encore un exemple de dégénérescence du concept, on part d'une idée qui semble bonne, on développe, puis on perd de vue l'objectif global en s'enferrant dans les détails, là où est le diable...
Les plantes assimilent bien le bleu et le rouge ? Ne leur apportons que ces longueurs d'onde, cela fera des économies (Vegeled, que tu cites dans l'une de tes communications, papo)... Et ça marche !
Et puis Emerson est passé par là, et puis, l'œil humain est incapable d'apprécier la bonne santé d'une plante et ses éventuels parasites sous cette lumière violette, bref, depuis 2 années on est passé au "vrai full spectrum" avec bonheur, les bonnes références s'enchaînent, ça marche encore mieux. Par exemple la culture (exigeante) de certaine plante à très haute valeur ajoutée

En culture maraîchère, le jeu de la lumière artificielle n'en vaut pas la chandelle, sauf en complémentation. Et comme dans ce cas, il vaut mieux s'en tenir à un apport de bleu et de rouge (cf Lumigrow par exemple) en dehors des heures du jour, on va encore un bon moment bénéficier des soirées violettes à Plougastel et à Nantes... ce qui va donc conforter l'imagerie populaire
