Re: Jardin espagnol 2024
Publié : 02 juil. 2024, 06:53
J'espère que vous les aimez bien mûres
Apparemment je ne suis pas le seul à avoir eu des problèmes de cul noir et crevasses sur les tomates, c'est le sujet récurrent cette année sur les réseaux sociaux espagnols, probablement en rapport avec le climat du printemps qui a été en dents de scie.
Plusieurs parlent de traiter le cul noir au soufre, j'ai l'impression qu'ils prennent ça pour une maladie. Certains connaissent et conseillent le nitrate de calcium. J'attends toujours le mien.
Je suis en train de faire une installation d'arrosage automatique pour des amis espagnols qui se lancent dans le jardinage. Ils ont adoré le concombre serpent que je leur avait donné et m'ont demandé des graines. Du coup je leur ai fait quelques semis, c'est vraiment tard pour ici mais ça ne coûte rien d'essayer (si ça veut bien lever).
Hier nous sommes allés faire un tour dans la réserve de Cijara, j'avais repéré une décharge de vieux fers à béton (ils s'en servent de tuteurs pour les plantations d'arbres), j'en ai récupéré un dizaine en 2m pour faire les arceaux de mon futur tunnel anti-insectes.
Je pensais récupérer des graines de pivoines sauvage mais c'est encore trop tôt. Les gousses sont bien formées et les graines aussi, mais ce n'est pas encore assez sec, il faut attendre la fin du mois je pense. J'ai quand même ouvert une gousse pour voir, les graines sont grosses, rouges et baignent dans un liquide rouge visqueux et collant (à maturité elles sont noires). J'en ai semé une en godet, on ne sait jamais, sur un malentendu...
On a vu pas mal de bestioles, essentiellement biches et daines avec leurs petits. C'est l'époque de l'année où les faons sont tachetés.
On est tombé sur une joli groupe de vautours près d'un point d'eau, ce n'est pas clair s'il y avait une charogne ou s'ils se baignaient (ou les deux car il est rare qu'ils se rassemblent sans raison), en tout cas il y en avait deux (un moine et un fauve) qui étaient bien mouillés. Ils ne pouvaient pas décoller et ont couru et sautillé devant la voiture sur 500 m en battant des ailes pour les sécher, avant de réussir à s'envoler.
On ne se rend pas compte quand on les voit dans le ciel à quel point l'envergure est énorme. Ça fait facilement la largeur de la voiture, voire plus.

Apparemment je ne suis pas le seul à avoir eu des problèmes de cul noir et crevasses sur les tomates, c'est le sujet récurrent cette année sur les réseaux sociaux espagnols, probablement en rapport avec le climat du printemps qui a été en dents de scie.
Plusieurs parlent de traiter le cul noir au soufre, j'ai l'impression qu'ils prennent ça pour une maladie. Certains connaissent et conseillent le nitrate de calcium. J'attends toujours le mien.
Je suis en train de faire une installation d'arrosage automatique pour des amis espagnols qui se lancent dans le jardinage. Ils ont adoré le concombre serpent que je leur avait donné et m'ont demandé des graines. Du coup je leur ai fait quelques semis, c'est vraiment tard pour ici mais ça ne coûte rien d'essayer (si ça veut bien lever).
Hier nous sommes allés faire un tour dans la réserve de Cijara, j'avais repéré une décharge de vieux fers à béton (ils s'en servent de tuteurs pour les plantations d'arbres), j'en ai récupéré un dizaine en 2m pour faire les arceaux de mon futur tunnel anti-insectes.
Je pensais récupérer des graines de pivoines sauvage mais c'est encore trop tôt. Les gousses sont bien formées et les graines aussi, mais ce n'est pas encore assez sec, il faut attendre la fin du mois je pense. J'ai quand même ouvert une gousse pour voir, les graines sont grosses, rouges et baignent dans un liquide rouge visqueux et collant (à maturité elles sont noires). J'en ai semé une en godet, on ne sait jamais, sur un malentendu...
On a vu pas mal de bestioles, essentiellement biches et daines avec leurs petits. C'est l'époque de l'année où les faons sont tachetés.
On est tombé sur une joli groupe de vautours près d'un point d'eau, ce n'est pas clair s'il y avait une charogne ou s'ils se baignaient (ou les deux car il est rare qu'ils se rassemblent sans raison), en tout cas il y en avait deux (un moine et un fauve) qui étaient bien mouillés. Ils ne pouvaient pas décoller et ont couru et sautillé devant la voiture sur 500 m en battant des ailes pour les sécher, avant de réussir à s'envoler.
On ne se rend pas compte quand on les voit dans le ciel à quel point l'envergure est énorme. Ça fait facilement la largeur de la voiture, voire plus.